Bonjour,
Merci pour ces conseils ! Je me rends compte que je ne suis pas seule à me poser des questions sur la rédaction.
J’ai toujours adoré la phase de recherche, quelle exaltation : découvrir de nouvelles théories, de nouveaux auteurs, aller toujours plus loin… Mais voilà le moment tant redouté : la rédaction ! J’ai commencé à rédiger dès que mon plan d’ensemble a été validé par mon directeur autrement dit il y a deux ans maintenant. Sur un total de huit chapitres, j’en suis à mon quatrième. Vous me direz, tout va bien, ça avance notamment en sachant que j’avais un poste d’ATER et donc beaucoup d’heures de cours. Mais là où apparaît le « Hic » est que désormais je ne suis plus ATER, je n’ai plus de cours. Je me consacre donc entièrement à ma thèse. Toutefois j’éprouve de grande difficulté à rédiger, je remets sans arrêt en question ce que j’écris, je modifie mon plan en permanence, je dévalorise mon travail en pensant ne pas être au niveau, que mon travail est superficiel et pire que tout : rempli de contresens et d’incompréhensions.
Si ce n’était que cela un travail sur moi-même me permettrait d’occulter cela et de continuer d’avancer, mais je dois rendre ma thèse à la fin de l’été (août 2016), soit encore cinq mois de travail. MAIS j’ai encore plus de la moitié de ma thèse à rédiger ! Comment rédiger en cinq mois ce que j’ai mis deux ans à rédiger ???? Voilà l’état dans lequel je suis… de deux choses l’une soit je bâcle la fin de ma thèse, en me disant que l’essentiel est de terminer, le contenu importe peu ; soit je me donne un « bon coup de pied aux fesses » et planifie strictement mes cinq mois à venir pour terminer convenablement… La vie de thésard n’est vraiment pas reposante… Bon courage à tous !
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Par : Aurore
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